Toc-Toc … Mon premier Tackk !

Tackk_CaseStudyEntre Tumblr, Twitter, et un blog, le tout sans login et sans besoin de devoir s’enregistrer. Je découvre donc cet outil qui semble plutôt ergonomique, et qui incontestablement, laisse la place belle au contenu, la créativité, et la liberté d’action vis à vis de l’outil. Rencontre qui tacle  !

… on cherche l’utilité et on s’amuse à créer du contenu. Ce qui n’est pas mauvais pour l’imagination. Mais, quel est donc le réel but et la réelle utilité de ce nouvel outil?

La plume se dégourdit et on continue d’écrire. Toujours en se demandant quelle utilité on pourra bien trouver à ce nouvel outil. Un de plus me direz-vous peut-être. Pourquoi pas mon blog ? Mon propre blog, fièrement mis en oeuvre. Ou ma page Facebook. Ou bien encore un Tumblr ou une autre de mes plateformes…

L’utilité et l’ingéniosité ici repose dans l’extrême facilité d’utilisation du système. Cela s’ouvre dans votre navigateur habituel et comme la configuration est réduite au strict minimum on se laisse indéniablement porter par la création de contenu …

Liberté d’esprit

C’est souvent le problème avec la majorité des outils, c’est que le côté “ingénierie” de la plateforme et de sa configuration prend le pas sur le réel besoin en contenus. On chipote, on confiture et puis, plouf, on n’a toujours rien créé … ici c’est clair l’accent est mis pour vous faciliter la tâche et laisser libre court a votre création de contenus

StoryTackking ? 

C’est un espace de plus pour mettre en place votre storytelling. Libéré des contraintes techniques et d’une simplicité d’utilisation déconcertantes votre esprit est disponible pour communiquer vos histoires et vos anecdotes …

Car ce sont bel et bien vos anecdotes qui pourraient être le point de départ à vos “tackks” c’est le nom que els créateurs ont donné aux contenus que vous postez sur Tackk.

Je ne compte absolument pas faire ici un tuto sur ce nouvel outil. Ni un user manual.

Une fois votre tackk terminé, vous obtiendrez un lien et vous pourrez communiquer vos contenus. Simple. Je ne sais pas encore si cela fonctionne car au fur et à mesure que je rédige mon article je découvre l’outil…

Et au niveau du référencement ? 

Déjà, je ne vois pas clairement une fonction pour baliser les différentes parties de mon contenu (H1, H2, etc..). Un éditeur prend place à la droite de votre tableaud e bord et vous pouvez contrôler: les couleurs, les typos, les fonds d’écran, le tagging (mots clés de l’article) mais je ne vois pas encore de fonctions SEO.

Je suis donc curieux de découvrir comment répond l’article au filtre du référencement organique.

Une fonction relativement simple semble permettre de modifier le permalien qui pointe vers votre article. C’est à dire l’adresse web de votre tackk. Sans vous enregistrer, le système vous fournit une adresse standard, mais en vous enregistrant via Facebook ou Twitter, vous êtes en mesure de donner un nom à votre article … votre tackk pardon 😉

Le SEO n’est pas tout – pensez à votre image de marque, à votre notoriété en ligne

J’en profite ici pour livrer mon point de vue professionnel sur le tout SEO. Je pense qu’une bonne stratégie SEO tient aussi compte des réels besoins en terme de visibilité et de notoriété digital du client ou du commanditaire.

Selon les objectifs, je parlerais plutôt de placement de curseur SEO dans le travail stratégique de mise en place. Les notions de visibilité, d’expérience utilisateur et lecteur, et d’image de marque ne sont pas inutiles dans l’écosystème global mis en place pour le commanditaire. Tout miser sur le SEO serait se leurrer. Les retombées sont différentes d’un projet à l’autre et d’une mission à l’autre. Nous sommes tous parfois étonnés de se rendre compte qu’une campagne est plus performante qu’une autre alors que le référencement n’avait pas été poussé.

Il faut se rendre à l’évidence – les E-RP jouent de plus en plus un rôle de premier plan à côté des stratégies SEO et SEM. C’est le mix qui est important. Et le suivi continu de la recette mise en place, en se remettant en question. Sans cesse …

Et après ? 

Je garderai cela en tête – quel est donc l’utilité en sus des autres outils déjà disponibles ? Pourquoi ferai-je un tackk plutôt qu’un tweet ? Observons un peu comment se déroule la vie d’un tackk et observons la progression de la plateforme.

Espérons juste que ce nouvel arrivant dans l’espace de contenus et des réseaux sociaux ne soit pas taclé directement par le public …

La question se pose aussi en terme de visibilité de l’auteur et du suivi des commentaires générés par votre tackk. Puisque tout se fait “à la volée” nous sommes en droit de se demander qu’elle est la base stable de cet outil. Comment se déroulera la centralisation ? La mise en valeur de l’auteur ? La propriété des contenus ?

Une piste sur l’utilité de ce système serait peut-être le fait de regrouper une sorte de dématérialisation. Moins rigide que WordPress, plus consistant qu’un tweet … complètement adaptable à une communication “on the go”, ce système, s’il ne percera pas comme tel, aura peut-être au moins l’abalité de placer els bases d’un nouveau mode de communication contenus, complètement dématérialisé de sa plateforme …

En tout cas, voici l’adresse de mon premier tackk pour découvrir ce nouveau moyen de partage de contenus 😉 : http://tackk.com/toc-toc-mon-premier-tackk –  N’hésitez pas à commenter !